Mourir, la belle affaire
Avec «Mourir, la belle affaire», Alfredo Noriega procède à l’autopsie d’une capitale méconnue, qu’il dissèque dans sa géographie et dans son coeur…
Mais Quito n’est pas New York, et Noriega transcende à sa manière singulière les thèmes chers au romans noir – injustice sociale, corruption, et fatalité du destin – porté par une écriture dense et magnétique. Ce polar crépusculaire, où s’invitent même quelques vers de Borgès, cultive avec grâce les fleurs du mal. (François Lestavel – Paris-Match, novembre 2013)